J’ai fait l’agréable connaissance de Virginie sur Paris. Alors que les rencontres entre HP portent souvent à un dialogue sur la douance, cette fois ce dialogue s’est déployé sur une description romantique des HP, que Virginie Durand a rencontré lors de ses sorties Parisiennes.
Les yeux des HP ont tous une caractéristique particulière pour Virginie. Elle nous en parle avec ses émotions et ses sentiments en employant de belles phrases, de ces yeux dont elle ne se lasse pas de croiser les regards.
Virginie explique son ressenti sur la douance, non pas en termes savants, mais toujours avec ses mots tranquilles, de belles paroles, toutes empreintes de douceur.
Elle parle de ses petites voix d’enfants qui l’ont guidé dans son parcours de vie, tant professionnel, que privé dans sa vie de femme. Elle nous guide vers des moyens simples de tenir un cap, de ne pas se retrouver en difficulté, mais bien dans la vie active, celle qui fait le monde, celle qui respire à plein poumons les émotions tranquilles et les expériences de la vie.
Une belle histoire d’amour des autres, dite simplement, débordante de candeur et touchante de sincérité.
DP
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