ISBN : 978-2-343-05130-7• 26 € • 262 pages
Qu’est-ce donc que l’anthropologie quantique ? C’est la science qui pose que l’être humain est au centre de l’interaction de la Matière et de ses multiples structures comme l’Energie. L’Homme est matière/esprit et, sous l’angle de son état d’être d’Energie, il est aussi éternel dans la dimension du continuum de l’Espace-Temps. Il est une composante complexe et essentielle de la Réalité ultime et de ses multiples dimensions. Dans cette perspective, l’anthropologie quantique n’est rien d’autre qu’une nouvelle vision du monde humain en tant qu’elle apporte de nouvelles révélations sur celui-ci par rapport à la conception anthropologique classique. Elle est un pendant des révélations de la structure de l’univers subatomique.
Sous cet angle, les sciences des peuples africains subsahariens nous dévoilent des connaissances qui éclairent notre intelligence des dimensions quantiques du vivant, singulièrement de l’espèce humaine. On découvre que tous les secrets de la vie gisent dans son cerveau comme à l’état d’amorphie qu’il suffit de mettre en branle pour que tout s’illumine. Et on saisit mieux le sens des phénomènes qui échappent à notre raison philosophico-scientifique comme les voyages trans-spatio-temporels, les guérisons à distance, les soins et/ ou les miracles par la puissance et l’efficience du verbe ou de la prière : des faits des cerveaux quantiques.
ISBN : 978-2-336-30772-5 • 20 € • 202 pages
À l’inverse de la police scientifique dont les procédés d’analyse et d’investigations peuvent être rendus publics, les éso-sciences qui sont opératoires dans leurs domaines – une cible visée est rarement ratée – gardent, comme leur nom l’indique, leurs secrets par-devers elles. Malgré cela, elles exigent de quelqu’un, qui veut sonder ce monde suprasensible, qu’il soit initié dans leur univers pour accéder aux secrets de la connaissance du vivant et opérer avec assurance et efficacité sur lui.
Par ailleurs, et pour tout le monde, l’exploration du cerveau est devenue la science du futur par excellence. Cependant, cet engouement des neurosciences présente un défaut majeur. En effet, contrairement à notre démarche qui vise à tâcher de comprendre et de connaître le cerveau, c’est-à-dire l’intelligence du tableau qu’il présente dans son ensemble, cet éminent organe est devenu comme un champ de bataille ou plutôt une mine d’or où une armée d’orpailleurs se livre une concurrence implacable. Car chaque école lutte pour avoir une belle petite pépite d’or, c’est-à-dire la découverte la plus éclairante, la plus pertinente possible, voire la plus révolutionnaire.
L’AUTEUR
Pierre Bamony a étudié la théologie à l’Institut catholique de Lyon, est diplômé de l’École des hautes études en sciences sociales de Paris, docteur en philosophie (Paris IV-Sorbonne) et en anthropologie (université Blaise Pascal-Clermont-Ferrand), il est aussi essayiste, romancier, poète, auteur de nombreuses publications scientifiques, et professeur de philosophie enseignant à l’Institut de sciences politiques de Lyon (DEASC).
EXTRAITS
TOME I De l’anthropologie quantique comme science ultime de l’Homme
« Au fond, ce dont les technoscientifiques ne se rendent pas compte encore, c’est de leur erreur de perspective. Ils ne voient pas que l’Aporie liée à la recherche de l’unification de la science résulte de la nature même de la raison philosophico-scientifique ou raison aristotélo-cartésienne. Celle-ci est, en son essence même, discriminatoire. Elle sépare tous les phénomènes qu’elle tente d’étudier pour tâcher de mieux les comprendre… Pour prendre congé de cette faiblesse de la raison humaine, nous disons que l’unité de la Matière est une évidence. Celle-ci peut être, par hypothèse, symbolisée par le concept d’UPONIS… Celui-ci ne saurait, en soi, être défini ; ou, plutôt, ce serait la lie du « Haut-et-Bas imbriqués ». En effet, entre l’infra – matière et la supra – matière, il n’y a pas de rupture, mais continuité par le fluide ou les canaux de l’Energie qui est la Matière… »
TOME II Anthropologie quantique et technoscience
« En ce sens, les pouvoirs du cerveau que nous exploitons insuffisamment laissent entières d’autres perspectives, d’autres sources de savoirs. En nous fondant sur ces considérations, nous pouvons admettre que notre cerveau est comme une immense porte ouverte sur l’univers entier, un gigantesque récepteur enté sur les espaces proches et lointains, sur les dimensions superposées et/ou parallèles de l’univers. C’est un immense océan dans lequel continûment se reflètent et dansent tous les êtres, tous les phénomènes visibles et invisibles des mondes proches et lointains. Pour poursuivre dans le sens de cette métaphore, les neuroscientifiques en général, et l’éminent professeur Jean-Pierre Changeux en particulier, reconnaissent de façon unanime que le cerveau recèle des zones inconnues et peut-être inconnaissables qui confinent à des mystères, en raison notamment de l’incapacité des moyens technologiques dont on dispose pour l’explorer en totalité et en détail. »