Planete douance2Alors que des scientifiques australiens et sud-africains ont corrélé l’augmentation de la cognition et la quantité du flux sanguin qui nourrit le cerveau, le professeur Seymour nous dit que notre cerveau a augmenté en volume au cours de l’évolution de 350%, et qu’en parallèle le flux sanguin qui l’alimente s’est accru de 600%.

http://www.adelaide.edu.au/news/news87342.html

Que dire de ce français qui n’a que 10% du volume moyen d’un cerveau humain et qui pourtant vit normalement.

http://qz.com/722614/a-civil-servant-missing-most-of-his-brain-challenges-our-most-basic-theories-of-consciousness/

Des scientifiques français viennent de prouver qu’une amibe semble être capable d’apprendre, et par voie de conséquence, que la capacité d’apprentissage strictement liée au système nerveux est à reconsidérer.

http://rspb.royalsocietypublishing.org/content/283/1829/20160446

A l’ère de la physique quantique, de l’intrication quantique et de l’univers connecté, notre représentation de la cognition est peut-être à revoir, ce, dans ses fondements.

L’être humain, l’animal, et toute forme de vie en mesure de ressentir et d’apprendre, sont-ils des entités bien distinctes, qui possèdent en propre l’intelligence ? Cette intelligence peut-elle être envisagée sans un apport extérieur insoupçonné jusqu’à lors ?

Une autre option, serait celle de la connaissance partagée. Dans ce cas, notre système nerveux central ne serait alors plus strictement ce qui va définir ce que nous sommes, mais en fin de compte s’apparenterait plus à un terminal, une sorte de « PC portable » connecté à un « web universel« , via des relations basées sur l’intrication quantique et le principe de non localité.

Si cela s’avérait être le cas, un changement de paradigmes majeur devrait s’effectuer… En premier lieu, l’orgueil et la vanité en prendrait un coup ! Comment justifier une supériorité cognitive si l’on considère que ce que nous pensons, apprenons, connaissons, est issu en grande partie d’une étroite relation d’échanges subatomiques, que nous interprétons à un niveau plus ou moins conscient, et qui nourrit nos réflexions, nos croyances, nos intuitions, nos ressentis, nos analyses et synthèses, et que tout ceci est partagé, en accès libre pour le plus grand nombre.

Que nous resterait-il donc en propre au bout du compte ? Une interface (Système nerveux) plus ou moins efficiente, plus ou moins rapide, plus ou moins multitâche, mais néanmoins très limitée, si elle n’était pas connectée à un possible « web quantique ».

A méditer…

DP

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